Dans un premier temps le médecin évalue ce qui est souhaitable en fonction des spécificités de la situation clinique (RC) :
La position diagnostique du RC [+]
En position de maladie confirmée (D), les procédures et les recommandations de bonnes pratiques, sont définies, souvent codifiées. Par exemple devant un ULCERE GASTRIQUE (D), la conduite à tenir est précise. La marge de manœuvre du médecin est assez limitée.
En position de symptôme (A), par exemple devant une EPIGASTRALGIE (A), la situation est plus complexe avec des risques dans le champ gastrique, mais aussi pancréatique, cardiologique… La marge de manœuvre du médecin est ici beaucoup plus importante.
Le code suivi du RC [+]
La persistance (P) d'une situation clinique met en éveil le praticien. Cette alerte impose au médecin une démarche plus approfondie, de moins en moins négociable. Par exemple, en cas de persistance d'une EPIGASTRALGIE, des explorations s'imposeront.
La vulnérabilité du patient
La marge de négociation varie aussi en fonction de l'âge du patient, de son sexe, de ses comorbidités, de ses allergies…
Les Diagnostics Critiques [+]
En tenant compte des éléments du-dessus, le médecin doit réévaluer les risques (DiC) en fonction de leur niveau de criticité.